UN CIEL À PART
produit par Antoine Martin Production
en coproduction avec Cityzen TV
court métrage • Documentaire • 52 minutes
2008
Extrait/bande annonce
Genre
Thématique
Environnement
Synopsis
Dès que l’on franchit la porte, c’est le Portugal. On entre là et on oublie la France. C’est un territoire symbolique avec ses codes et ses rituels que le film explore. Peut-être est-ce une deuxième vie, une vie parallèle pour recréer ce qui a été perdu sur les chemins de l’exil.
Distribué par
Sancho Et CompagnieImage
Nicolas Eprendre, Maria PintoSon
Julien AlvesMontage image
Anne ArgouseLieux de tournage
Petit-Quevilly (76), Rouen (76)Soutien
Film soutenu à la production par la Région Normandie, en partenariat avec le CNC et en association avec Normandie Images, de l'ACES - Agence Nationale pour la Cohésion Sociale et l'Egalité des ChancesAutres films soutenus du même réalisateur
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Bovary tout contre Butterfly
de Maria Pinto
produit par Sancho et Compagnie
TV unitaire • Documentaire
2017 • 62 minutesSynopsis
C’est l’histoire d’un photographe, à la recherche d’une image du féminin. A Evreux comme à Osaka, le film montre la quête artistique et passionnelle de l’artiste Jean Rault, du réel à la fiction, d’un genre à l’autre, de Bovary à Butterfly, contre, tout contre, ses modèles.
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Moi qui duperais le bon Dieu
de Maria Pinto
produit par Antoine Martin Production
TV unitaire • Documentaire
2014 • 52 minutesSynopsis
Le marquis de Sade est à nouveau sous les verrous, 12 ans dans les geôles du château de Vincennes puis dans les cachots de la Bastille. Emmuré vivant, plongé dans la frustration et l'abstinence, privé d'air et de liberté, le vertige le saisit, sa raison chavire. Alors pour ne pas devenir fou, il lit, étudie, écrit, des pièces de théâtre, des récits et surtout des lettres à sa femme, la marquise de Sade, son seul lien avec le monde des vivants. Le film est construit comme la fiction d'une pièce de théâtre dans les prémices de sa création : tableaux vivants, improvisations, expérimentations diverses ou leçons de mise en voix de cette correspondance volcanique font pénétrer par effraction sur une scène où le dérèglement des sens est jubilatoire à l'instar des divertissements de l'enfance. Dans le film tout concourt à incarner cette foudroyante maxime de l'écrivain, "Il n'y a pas d'idées sans corps, ni de corps sans idées » !
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Les Mauvais rêves de monsieur Antunes
de Maria Pinto
produit par Antoine Martin Production
TV unitaire • Documentaire
2011 • 52 minutesSynopsis
“J’écris sur ce qui a été perdu...” L’oeuvre d’Antonio Lobo Antunes est obsédée des souvenirs de la guerre où il s’était engagé comme médecin-militaire et de l’exercice de la psychiatrie dans un hôpital à Lisbonne. Ses récits, monologues intérieurs ou ressassements nocturnes, nous font partager les tourments intimes d’êtres écartelés entre le passé et le présent. Dans un bar, la nuit, des lecteurs font entendre la singularité de cette écriture et la musique de la langue portugaise. Au gré d'une déambulation à travers Lisbonne, des personnages surgissent en dévoilant des fragments de leur vie désenchantée, comme si ils appartenaient à l'univers romanesque de l'écrivain Antonio Lobo Antunes. Dans des salons feutrés, deux femmes partagent leur érudition. L'auteur, lui, se dérobe en affirmant : "Tout est autobiographique et rien n'est autobiographique... Je voudrais mettre toute la vie entre les couvertures d'un livre".